
Fabrice ROUX
Directeur de Recherche CNRS (co-directeur de l’équipe)
ECOGEN
SUJETS DE RECHERCHE
Fabrice Roux a obtenu son doctorat en 2004 sur la gestion et prévention de la résistance aux herbicides en utilisant Arabidopsis thaliana comme modèle expérimental (sous la direction de Xavier Reboud, Laboratoire Biologie et Gestion des Adventices, INRAE Dijon). Après sa thèse, il a été ATER pendant un an au laboratoire Génétique et Evolution des Populations Végétales (GEPV, Université de Lille 1) et a travaillé sur l’évolution de la précocité de floraison chez les plantes. Il a ensuite passé une année dans le laboratoire de Joy Bergelson (University of Chicago) où il s’est intéressé à l’identification des bases génétiques de la résistance quantitative chez le pathosystème A. thaliana – Pseudomonas viridiflava. Recruté en tant que chercheur CNRS en 2006 au sein du GEPV (Université de Lille 1), il a développé son propre de thème de recherche portant sur la génomique écologique de l’adaptation chez A. thaliana, avant de codiriger en 2012 le thème de recherche ‘Changements globaux : de la génomique écologique à l’écologie des communautés’. Fabrice s’est principalement intéressé à l’identification des bases génétiques de traits adaptatifs complexes avec la volonté de replacer A. thaliana dans un contexte écologiquement réaliste, et (ii) étudier l’adaptation à différentes échelles spatiales et temporelles. Depuis juillet 2013, Fabrice a intégré le LIPME dans le cadre d’une chaire junior du Labex TULIP (Toulouse) et a mis en place un projet sur la génomique écologique des interactions organisme–organisme. Il s’intéresse notamment à l’identification des bases génétiques sous-jacentes à la coévolution plante–microbiote-pathobiote et plante–plante. Depuis 2021, il co-dirige l’équipe avec Fabienne Vailleau

Fabienne VAILLEAU
Directrice de Recherche INRAE (co-directrice de l’équipe)
ECOGEN
SUJETS DE RECHERCHE
Fabienne Vailleau a obtenu son Doctorat en 2003 à l’Université de Toulouse, thèse réalisée au LIPM dans le groupe de Dominique Roby, sur le pathosystème Arabidopsis thaliana/Xanthomonas campestris pv. campestris. Elle a ensuite été Attachée Temporaire à l’Enseignement et à la Recherche à l’INP-ENSAT, où elle a développé le pathosystème Medicago truncatula/Ralstonia solanacearum. Puis, elle a été recrutée dans le groupe de Michel Petitprez à l’INP-ENSAT en tant que Maître de Conférences, où elle a poursuivi ses recherches dans le domaine des interactions Plantes-Bactéries, en donnant en parallèle des enseignements à l’INP-ENSAT en Phytopathologie et Malherbologie. Elle a notamment été responsable de la spécialisation de 3ème année AgroBioSciences Végétales sur la période 2008-2015. En 2008, Fabienne a rejoint le LIPM pour poursuivre ses recherches dans le groupe de Stéphane Genin et Christian Boucher. Ses travaux ont porté sur l’étude des mécanismes post-traductionnels requis pour la mise en place du pouvoir pathogène chez la bactérie R. solanacearum. Après avoir soutenu son HDR en 2016, Fabienne a orienté ses travaux sur la recherche de protéines végétales ciblées et manipulées par des effecteurs de R. solanaceraum, notamment par des approches de génétique d’association. En 2020, elle a rejoint l’équipe de Fabrice Roux, pour poursuivre ses travaux et les intégrer dans une thématique plus globale visant à caractériser et comprendre le dialogue moléculaire entre la plante et son cortège bactérien. Dans ce contexte, elle développe une thématique de l’équipe ECOGEN sur les interactions plante-microbiote-pathobiote. Depuis 2021, elle co-dirige l’équipe avec Fabrice Roux.

Paloma DURÁN
Post-doctorante
ECOGEN
SUJETS DE RECHERCHE
Paloma comes from Spain and studied Biology at the University of Salamanca. For her PhD, she moved to the MPIPZ in Cologne, Germany, and worked in the groups of Paul Schulze-Lefert and Stéphane Hacquard. There, she studied the multikingdom microbial communities associated with roots of natural Arabidopsis thaliana populations across Europe and the impact of microbial interactions on plant health. She was then then granted a Postdoctoral Fellowship with CEPLAS and moved to the group of Ruben Garrido Oter, also at the MPIPZ. There, she studied the microbiota composition and interactions at the phycosphere of the model microalgae Chlamydomonas reinhardtii, and investigated the microbial composition overlap with land plants. She is now part of the ECOGEN lab, where she will study the pathobiota of A. thaliana natural populations, investigating the host and microbial genetic factors, as well as environmental cues, that underlie these interactions.
Relevant publications
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Durán P. 2024. The core microbiota across the green lineage. Current Opinion in Plant Biology. 77 : 102487. https://doi.org/10.1016/j.pbi.2023.102487.
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Loo E.P.I.*, Durán P.*, Pang T.Y., Westhoff P., Deng C., Durán C., Lercher M., Garrido-Oter R. & Frommer W.B. 2024. Sugar transporters spatially organize microbiota colonization along the longitudinal root axis of Arabidopsis. Cell Host & Microbe 32, 1–14. https://doi.org/10.1016/j.chom.2024.02.014. *Authors contributed equally to this work.
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Durán, P., Flores-Uribe, J., Wippel, K., Zhang, P., Guan, R., Melkonian, B., Melkonian, M. & Garrido-Oter, R. 2022. Nat Commun 13, 406.
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Thiergart, T., Durán, P., Ellis, T. et al. 2020. Root microbiota assembly and adaptive differentiation among European Arabidopsis populations. Nat. Ecol. Evol. 4, 122–131.
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Durán, P., Thiergart, T., Garrido-Oter, R., Agler, M., Kemen, E., Schulze-Lefert, P., & Hacquard, S. 2018. Microbial interkingdom interactions in roots promote Arabidopsis survival. Cell, 175(4), 973-983.
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Hassani, M. A., Durán, P., & Hacquard, S. 2018. Microbial interactions within the plant holobiont. Microbiome, 6(1), 58.

Mathieu HANEMIAN
Chargé de Recherche INRAE
ECOGEN
SUJETS DE RECHERCHE
Pendant mon premier postdoc avec Olivier Loudet, j'ai combiné génétique quantitative et le phénotypage à haut débit pour identifier les bases génétiques et moléculaires de la croissance végétative chez A. thaliana. Ce travail suscité mon intérêt pour l'étude des bases moléculaires de l'adaptation écologique pour comprendre l'évolution des espèces. Cela m'a conduit à un deuxième postdoc avec Cris Kuhlemeier à l'Université de Berne, où j'ai étudié l'influence des pollinisateurs sur la spéciation du Petunia, en utilisant des approches de génétique quantitative, de génomique fonctionnelle et de biologie moléculaire. Depuis octobre 2019 je fais partie de l'équipe ECOGEN, où j'étudie les mécanismes génétiques et moléculaires sous-tendant la variabilité naturelle de la réponse d'A. thaliana à d'autres espèces végétales. Dans des projets plus récents, je m'intéresse à l'impact des interactions plante-plante sur la mise en place de la symbiose rhizobienne, ou encore aux associations de cultures de légumes dans le cadre de projet de sciences participatives. Dans l'ensemble, mes recherches visent à mieux comprendre comment les interactions entre plantes fonctionnent ce qui pourrait éclairer les transitions agroécologiques.
FORMATION
2012 - Doctorat sur les interactions plantes-microorganismes - Université Toulouse III
2008 - Master 2 Recherche Microbiologie-Agrobiosciences - Université Toulouse III
2007 - Maîtrise spécialité Sciences et Technologies du Végétal - Université de Bourgogne
2006 - Licence Sciences, Technologies, Santé spécialité Biologie - Université de Bourgogne
MEMBRE COMITE
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Relais développement durable du LIPME (2020-)
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Membre nommé au conseil pédagogique TULIP (2020-)
PRODUCTION SCIENTIFIQUE
LIENS
https://leshorizons.net/interview-mathieu-hamenian-inrae-interactions-plantes/
https://quaidessavoirs.toulouse-metropole.fr/2025/04/02/agroecologie-nourrir-la-planete-durablement/
HOBBY
Le jardinage (qui m’en apprend sans doute plus sur les plantes que le travail)
La randonnée

Claudia BARTOLI-KAUTSKY
Chargée de Recherche INRAE
ECOGEN
SUJETS DE RECHERCHE
J’ai réalisé mon doctorat en écologie microbienne au laboratoire de Pathologie Végétale d’Avignon. Pendant ma thèse, je me suis focalisée sur la compréhension de l’émergence des maladies causées par la bactérie Pseudomonas syringae chez le kiwi. En septembre 2014, j’ai rejoint le LIPME dans l’équipe de Fabrice Roux. Pendant mon post-doctorat dans cette équipe, j’ai étudié la variation du microbiote chez des populations sauvages d’Arabidopsis thaliana et mis en évidence une relation entre la diversité du microbiote et celle des populations pathogènes (aussi appelé pathobiote). En 2016, j’ai réalisé un deuxième post-doctorat dans l’équipe de Benoît Lefebvre, en me focalisant sur les interactions entre champignons et bactéries chez le blé. En 2018, j’ai été recrutée en tant que chargée de recherche à l’INRAE, au laboratoire IGEPP de Rennes. Mon projet actuel porte principalement sur l’étude de la coévolution entre les plantes et leur microbiote. Pour cela, j’utilise le modèle Brassica rapa fast cycling. Dans l’équipe ECOGEN, que j’ai rejoint en Janvier 2025, je développe également des projets visant à utiliser les microorganismes (en particulier les champignons, ma passion !) pour le biocontrôle et la biostimulation.

Chrystel GIBELIN-VIALA
Assistante Ingénieure INRAE
ECOGEN
SUJETS DE RECHERCHE
Chrystel Gibelin-Viala a été recrutée à l’INRA Poitou-Charentes en 2000. Elle a travaillé au laboratoire de Biologie Moléculaire de l’URP3F, unité qui travaille sur le fonctionnement des peuplements fourragers pérennes dans les prairies. Elle a rejoint le LIPME en 2009 au sein du groupe de Clare Gough et Julie Cullimore, où elle a étudié la mycorrhization à arbuscules à partir de mutants potentiels de mycorrhization. Elle a également travaillé sur les nouvelles approches génétiques pour analyser le contrôle du spectre d’hôte dans la symbiose rhizobium-légumineuses. Depuis janvier 2020, elle a intégré l’équipe ECOGEN. Sa principale mission s’inscrit dans la thématique des interactions plante-microbiote-pathobiote de l’équipe. L’un de ses principaux objectifs est de contribuer à la caractérisation et compréhension du dialogue moléculaire entre Arabidopsis thaliana et son cortège bactérien. Chrystel a des compétences en biologie moléculaire (extraction d’ADN, PCR, génotypage), microscopie, biologie des plantes (suivi des plantes, mise en place d’expérimentations, phénotypage) et microbiologie.

Baptiste MAYJONADE
Ingénieur d’Etudes INRAE
ECOGEN
SUJETS DE RECHERCHE
Baptiste a obtenu un Master Professionnel en Biotechnologie à l’Université de Limoges. Il a ensuite travaillé au laboratoire de marquage moléculaire de Limagrain Europe à Chappes où il développait des marqueurs moléculaires sur plusieurs espèces de grandes cultures dans le cadre de projets de sélection assistée par marqueurs. Il a rejoint le LIPME en 2012, pour travailler sur la génétique et la génomique des réponses aux stress biotiques et abiotiques du Tournesol. Il était chargé de projets de transcriptomiques, génomiques et de développements méthodologiques. Depuis septembre 2015, il a été recruté au sein de l’équipe ECOGEN. Il est chargé de la caractérisation aux niveaux génomique, écologique et phénotypique de 168 populations d’Arabidopsis thaliana dans la région Sud-Ouest de la France, et des communautés végétales et microbiennes associées. Pour celà, il met en place des méthodologies innovantes, notamment basées sur les techniques de séquençage à haut-débit les plus récentes.

Roxane LION
Assistante Ingénieure CDD CNRS
ECOGEN
SUJETS DE RECHERCHE
Après l’obtention d’une Licence Professionnelle en biologie moléculaire à l’IUT de Mont-de-Marsan, Roxane a été recrutée en CDD à l’INRA de Bordeaux au sein de l’unité Biologie du fruit et Pathologie. Elle a travaillé dans l’équipe Virologie sur le projet ANR Potymove où elle a étudié les gènes impliqués dans la résistance au virus TuMV ainsi que son mouvement dans le modèle Arabidopsis thaliana. Depuis novembre 2021, elle a intégré l’équipe ECOGEN pour travailler sur le projet ERC Pathocom.

Rémi DUFLOS
Doctorant
ECOGEN
SUJETS DE RECHERCHE
Rémi Duflos a obtenu son diplôme d'ingénieur agronome de l'INP-ENSAT (École Nationale Supérieure Agronomique de Toulouse) spécialisation « Agrobiosciences Végétales » en double diplôme avec le master Adaptation, Développement et Amélioration des plantes en présence de Microorganismes (ADAM) de l’Université Toulouse Paul Sabatier en 2021. Il a réalisé son projet de fin d’étude au sein de l’équipe ECOGEN, encadré par Fabienne Vailleau et Fabrice Roux. Ce projet avait pour sujet l’établissement d’une carte génomique adaptative d’Arabidopsis thaliana en réponse aux principaux membres de ses communautés bactériennes foliaires dans l’ex-région Midi-Pyrénées. Son doctorat s’inscrit dans la continuité de ce projet : dans un premier temps en réalisant l’analyse fonctionnelle de gènes candidats identifiés chez A. thaliana ; et dans un second temps en identifiant, chez Pseudomonas koreensis, des gènes bactériens régissant le dialogue génétique et moléculaire avec A. thaliana.

Coralie FUERTES
Technicienne de recherche CDD CNRS
ECOGEN
SUJETS DE RECHERCHE
Coralie a obtenu sa Licence Professionnelle Génome et Biotechnologies pour l'Amélioration des Plantes (GeBAP) à l’Université Toulouse 3 Paul Sabatier en septembre 2023. Dans le cadre de cette licence, elle a effectué un stage au sein des équipes ECOGEN et ENOD sur les interactions plante-plante entre Arabidopsis thaliana et Medicago truncatula. Elle était encadrée par Matthias Benoit et Mathieu Hanemian. En décembre 2023, elle revient dans l'équipe ECOGEN pour travailler sur le projet ERC PATHOCOM en tant que technicienne de recherche dans le cadre de la mise en place de collections bactériennes qui seront utilisées pour tester les interactions au sein du pathobiote bactérien d'Arabidopsis thaliana mais aussi entre le pathobiote et le microbiote d'Arabidopsis thaliana.

Tifaine FOLLETTI
Ingénieure d’Etudes INRAE
ECOGEN - RLE
SUJETS DE RECHERCHE
Tifaine a obtenu son master en Biotechnologie des Plantes Tropicales à l’université de Montpellier en 2021. Pendant ses études elle a réalisé une année de césure (entre le M1 et le M2) pendant laquelle elle a travaillé dans l’équipe SPI du LIPME avec Mireille Chabaud, en tant qu’assistante ingénieure, sur la recherche de résistance chez le tournesol à une plante parasite, l’orobanche. Après avoir obtenu son master, elle a réalisé un CDD d’ingénieure en biotechnologie chez SYNGENTA pendant lequel elle a travaillé sur l’amélioration d’un protocole d’extraction d’ADN mitochondrial sur l’orge. Depuis avril 2022 elle a intégré le LIPME entre l’équipe ECOGEN et RLE pour travailler sur le projet ANR PATHOSYM.

Sonia SILVA
Ingénieure d'études CDD CNRS
ECOGEN
SUJETS DE RECHERCHE
Sonia a obtenu Master en Biotechnologie, Biologie moléculaire et Microbiologie à l’université de Toulouse. Elle a ensuite travaillé deux années pour TWB (Toulouse White Biotechnologie) au sein de la plateforme Ingénierie de souches à haut débit où elle travaillait sur l’ingénierie génétique bactérienne, de levures et micro-algues. Depuis mars 2022, elle a intégré l’équipe ECOGEN pour travailler sur le projet ERC Pathocom.
Lien externe

Shantala MOUNICHETTY
Post-doctorante CNRS
ECOGEN
SUJETS DE RECHERCHE
Shantala a obtenu une licence en biologie cellulaire et physiologie ainsi qu’un Master spécialisé en interactions plantes-microorganismes à l’Université Paul Sabatier. Elle a ensuite réalisé sa thèse au sein de l’équipe Immunité Quantitative des Plantes (QIP) au sein du LIPME. Ses travaux ont porté principalement sur l’étude des mécanismes de virulence du champignon pathogène Sclerotinia sclerotiorum, qui infecte une large gamme de plantes hôtes. Durant sa thèse, elle a étudié le rôle d’un facteur de transcription du champignon impliqué à la fois dans le métabolisme du carbone mais aussi dans l’infection de la plante modèle des Brassicacées, Arabidopsis thaliana. Plus précisément, ses travaux ont mis en évidence le rôle de ce facteur de transcription dans la détoxification du composé de défense produit par A. thaliana, la camalexine, pendant l’infection de la plante par le champignon. Elle a maintenant rejoint l’équipe ECOGEN en tant que chercheuse postdoctorale, où elle travaille sur le projet ERC PATHOCOM

Antoine VAJOU
Post-doctorant CNRS
ECOGEN
SUJETS DE RECHERCHE
Antoine a obtenu son diplôme de mater en 2020 de biologie moléculaire et cellulaire de spécialité microbiologie avec une seconde spécialisation en mycologie de l’université Paris Cité (Paris Diderot). Il a réalisé un projet de fin d’étude à l’institut Pasteur de Paris au sein de l’unité de recherche du CNRMA (Centre National de Recherche Mycoses et Antifongiques), s’intéressant à la persistance de la levure Cryptococcus neoformans face à des antifongiques. Son doctorat, obtenu en 2023, s’inscrit dans la continuité de ce domaine de recherche qui est l’adaptation des organismes à leur environnement. En effet, il a étudié la plasticité phénotypique et le potentiel adaptatif chez le champignon phytopathogène Fusarium graminearum en réponse aux changements environnementaux. Un sujet qui allie plasticité phénotypique et génétique d’association ainsi que plasticité génotypique par évolution expérimentale. Il fait maintenant partie de l’équipe ECOGEN depuis 2025 travaillant pour l’ERC PATHOCOM sur les interactions des agents pathogènes entre eux et leurs modulations par le microbiote de la plante, la génétique de la plante et l’environnement.

Marine PAPIN
Post-doctorante CNRS
ECOGEN
SUJETS DE RECHERCHE
Suite à un diplôme d’ingénieur en Génie Biologique à Polytech Clermont-Ferrand, Marine a travaillé à l’AFMB (Université Aix-Marseille) sur la structure et les interactions entre protéines par cristallographie. Elle a ensuite réalisé son doctorat à l’UMR Agroécologie de l’INRAe de Dijon en écologie microbienne du sol. Son projet de thèse s’est concentré d’une part sur l’amélioration de la survie d’un inoculant bactérien à travers des inoculations récurrentes et d’autre part sur l’impact de ces inoculations sur la croissance du maïs et sur les communautés microbiennes du sol avec une approche d’écologie de l’invasion, du laboratoire au champ. Elle a intégré l’équipe ECOGEN depuis avril 2025 pour travailler sur le projet ERC Pathocom qui vise à étudier les types d’interactions entre pathogènes lors d’infections chez Arabidopsis thaliana et leurs déterminants génétiques.

Léonie FALGOUS
Doctorante
ECOGEN
SUJETS DE RECHERCHE
Après avoir obtenu le diplôme d'ingénieur agronome à l'École d'Ingénieurs de Purpan à Toulouse en 2024, je poursuis en doctorat au sein de l'équipe ECOGEN du LIPME. J'y ai d'abord réalisé mon stage de fin d'études, encadré par Fabrice Roux et Mathieu Hanemian, où j'ai étudié la variation génétique naturelle de la réponse à la compétition chez Arabidopsis thaliana face à différents compétiteurs.
Mon sujet de thèse, intitulé "Etude de la productivité d’une association de culture en maraîchage et de ses relations avec le sol et le microbiote", est encadré par Mathieu Hanemian (chercheur, LIPME) et Camille Dumat (enseignante-chercheuse, ENSAT-DYNAFOR). Je travaille sur les associations de cultures en maraîchage. L'objectif de cette recherche est de mieux comprendre les interactions entre plantes, sols et facteurs environnementaux afin d'optimiser ces associations. Ce travail s'appuie sur une démarche de science participative, en collaboration avec des maraîchers, des jardiniers et des chercheurs, afin de générer des données scientifiques interdisciplinaires de terrain intégrant la complexité des processus socio-agronomiques.

Corentin CHALAS
Doctorant
ECOGEN
SUJETS DE RECHERCHE
Je suis actuellement doctorant au sein de l'équipe ECOGEN du LIPME, après avoir obtenu mon Master de Biologie Végétale, parcours "Plant-Microbe Interaction for Plant Health" en 2024 et ma Licence Sciences de la Vie, parcours "Sciences de la Biodiversité" en 2022 à l'Université Claude Bernard Lyon 1.
Mon sujet de thèse s’intitule "Génomique éco-fonctionnelle de la diversité interspécifique du microbiote bénéfique d’Arabidopsis thaliana", sous la direction de Fabienne VAILLEAU et Carine CHAUVEAU. L'objectif de ma thèse est d'identifier et de valider fonctionnellement des gènes bactériens conférant des effets bénéfiques sur A. thaliana, en étudiant la variation naturelle interspécifique d'une collection de plus de 1000 souches bactériennes provenant du Sud-Ouest de la France. Un des grands objectifs de ma thèse est d’identifier de nouveaux mécanismes génétiques et moléculaires bactériens impliqués dans la variation naturelle entre espèces bactériennes sauvages sur la biostimulation des plantes.
J'ai eu l'opportunité de réaliser mes stages de Master 1 et 2 dans cette équipe en étant encadré par Rémi DUFLOS, Fabienne VAILLEAU et Fabrice ROUX.
- En 2023 au cours de mon stage de Master 1 (2 mois) sur les interactions plantes-bactéries bénéfiques, j’ai étudié la réponse de cinq accessions naturelles d'A. thaliana à des inoculations simples ou des co-inoculations de couple de 4 OTUs (Unité Taxonomique Opérationnelle) bactériennes commensales de la phyllosphère.
- En 2024 durant mon stage de Master 2 (6 mois) sur l'identification et la validation fonctionnelle de gènes de la bactérie Pseudomonas siliginis impliqués dans la promotion de la croissance d'A. thaliana. Pour cela, j’ai étudié la variation génétique naturelle intraspécifique de 74 souches de P. siliginis et démarré la construction de mutants bactériens.

Carine HUARD-CHAUVEAU
Ingénieure de Recherche
ECOGEN
SUJETS DE RECHERCHE
Pendant sa thèse au laboratoire de Biochimie et Structure des Protéines, INRAE de Jouy-en-Josas, Carine a travaillé sur la caractérisation des hydrolases du peptidoglycane de Lactococcus lactis. Elle a ensuite été recrutée dans l’unité de Pathologies de Petits Ruminants au laboratoire de Sophia-Antipolis de l’ANSES (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail). Elle a rejoint le LIPME en 2005. Elle développe des projets visant à caractériser des gènes contrôlant la résistance quantitative d’A.thaliana à Xanthomonas campestris pv campestris en combinant des approches de biologie moléculaire, de transcriptomique, de biologie des systèmes et de génomique fonctionnelle.
MEMBRE COMITE
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Référente Développement Durable pour le LIPME et animateur comité DD du LIPME (2020- )
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Membre de la « Commission avancement ITA » (2011- ).
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Membre élu du Conseil Scientifique du laboratoire LIPME (2016 - 2020)
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Membre élu au Conseil De Laboratoire (2007 et 2015)
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Membre nommé au CLHS (2005 - 2017)
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Assistant Prévention INRA (2005 – 2017)
Anciens membres

Visiting scientists
Hanna Susi (University of Helsinki) 2022
Quanjing Zheng 2023 (PhD student from the University of Copenhagen)
Post-docs
Claudia Bartoli - post-doc (2014-2016)
Ullrich Dubiella - post-doc (2015-2018)
Tatiana Vernié- post-doc (2017-2018)
Florent Delplace - post-doc (2020-2021)
Alexandre Perrat - post-doc (2022-2024)
Doctorant(e)s
Romain Villoutreix (2010-2013)
Etienne Baron (2011-2014)
Lea Frachon (2014-2017)
Cyril Libourel (2015-2019)
Nathalie Aoun (2016-2019)
Lorenzo Favale (2017)
Jaishree Subrahmaniam (2017-2020)
Florent Delplace (2017-2020)
Nargess Razavi (2017-2021)
Choghag DEMIRJIAN (2019 - 2022)
Daniela Ramirez-Sanchez (2019-2022)
Marie Invernizzi (2020-2024)
Rémi Duflos (2021-2024)
Agents techniques (CDD)
Rémi Zamar (2018 - 2022)
Oriane Besset (2022 - 2023)
Mégane Fenaux (2025)
Etudiant(e)s
Cyril Libourel - Master 2 (2015)
Eve Coutant - Master 1 (2015)
Arnaud Chevalier-Mairet - Master 1 (2016)
Wijmer Taeken - Master 1 (2016)
Thomas Dussarat - Master 1 (2017)
Arnaud Chevalier-Mairet - Master 2 (2018)
Laurie Thailades - Master 1 (2019)
Marie Invernizzi - Master 2 (2019)
Louis Uhlmann - Licence professionnelle (2020)
Alexandre Boubegtitène - Master 2 (2021)
Paul Baumet - Master 1 (2021)
Manon Pradel - Master 1 (2021) + Master 2 (2022)
Corentin Chalas - Master 1 (2023)
Irene Leccia - Stage de césure (2023)
Leo Zbierski - BTS 1ère et 2ème année (2023)
Coralie Fuertes - Licence professionnelle (2023)
Elena Dangla - Master 2 (2023)
Anais Botello - Master 2 (2023)
Clara Lapasse - Licence professionnelle (2024)
Audrey Vidal - L3 (2024)
Pauline Faure - BUT 2ème année (2024)
Edwin Wagner - Master 1 (2024)
Lila Rigolot - Master 1 (2024)
Matteo Antoine - Master 1 (2024)
Léonie Falgous - Master 2 (2024)
Corentin Chalas - Master 2 (2024)
Otto Bohm - Master 2 (2025)
Vinvent Garrigues -Master 2 (2025)


