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Mots clés

Sandra BENSMIHEN

Directrice de recherche (CNRS)

Responsable du groupe SMS

SUJETS DE RECHERCHE

Je suis généticienne et biologiste du développement de formation. Après une thèse sur le développement de la graine chez Arabidopsis (Gif_sur-Yvette), un 1er post doc sur le développement et la morphogenèse des feuilles (JIC, Norwich), puis un 2nd post doc sur la signalisation symbiotique lors de la nodulation chez Medicago truncatula (LIPM), j’ai été recrutée au CNRS pour animer un axe de recherche sur l’effet des signaux symbiotiques microbiens sur le développement des racines. Pour cela, j’utilise des approches de transcriptomique, génétique inverse et génétique quantitative. Mes domaines d’intérêt comportent :

  • Le phénotypage racinaire (moyen et haut débit)

  • Les cross-talks des voies de signalisation des signaux symbiotiques et des voies hormonales

  • Le développement racinaire chez Medicago truncatula

  • Les cross-talks entre tissus de la racine (épiderme et cortex)

FORMATION

  • Novembre 2014 : Habilitation à diriger de recherches, Université Paul Sabatier, Toulouse

  • 2006-2008 : Stage post-doctoral dans l’équipe de C. Gough (LIPM) sur l’analyse structure-fonction de NFP dans la spécificité d’hôte

  • 2003-2006 : Stage post-doctoral dans l’équipe de E. Coen (JIC, Norwich) sur la modélisation du développement des feuilles chez Anthirrhinum majus et Arabidopsis thaliana

  • 2003-2000 : thèse de doctorat Université Orsay Paris Sud, à l’ISV de Gif sur Yvette, directeur F. Parcy, équipe de J. Giraudat.

FINANCEMENTS

Passés :

AAP INRA-SPE 2016 : LCAUX, coordinatrice S . Bensmihen (2017-2018)

FRAIB : AUXIMED, coordinatrice S . Bensmihen, collab C. Jacquet (LRSV Toulouse) pour mettre en place le phénotypage racinaire à TPMP (2018),

Projet « interlabex » OPERA « optimisation du phénotypage moyen débit pour Medicago truncatula », coordinatrice, collab. P. Nacry, BPMP, Montpellier. (2019)

Actuels :

FRAIB: SINGULARITY , coordinatrice S. Bensmihen, collab. JM Couzigou (LRSV, Toulouse) (2020-2022) pour développer des approches de séquençage “noyaux uniques”

Participante des projets ANR DUALITY (2021-2024, coord. Clare Gough) et SYMWAY (2022-2026, coord. JF Arrighi, Montpellier)

COLLABORATIONS

Académiques internationaux :

H.  Motte et T. Beeckman, VIB Ghent, Belgique, dans le cadre du projet LCAUX, 2017-2018, (coord. S. BENSMIHEN).

D. O’Connor, Cambridge University, Angleterre. Pour les travaux sur Brachypodium (Buendia et al., 2019a).

N. Provart, Bio-Analytic Resource for Plant Biology (BAR), Toronto, Canada. (Herrbach et al., 2017).

M. Libault, University of Nebraska, Lincoln, USA : collaboration sur la technologie « single cell », à poursuivre dans le cadre du projet SINGULARITY (2020-2022, coord S. BENSMIHEN) et de l’initiative « Thomas Jefferson Fund ».

Académiques français :

P. Nacry, BPMP, Montpellier, pour le phénotypage racinaire (dans le cadre du projet OPERA, 2019, coord. S. BENSMIHEN)

N. Peeters, TPMP, LIPME, Toulouse et groupement « Phénome » : pour le phénotypage racinaire haut débit (projet AUXIMED, 2018, coord S. BENSMIHEN).

M. Bonhomme/ C. Jacquet, LRSV, Toulouse : pour la GWAS et dans le cadre du projet ANR NICECROPS  (Bonhomme, Bensmihen et al., 2021)

JM Couzigou, LRSV, Toulouse : pour la production de matériel pour le projet de transcriptomique « single cell » (projet SINGULARITY 2020-2022, coord. S. BENSMIHEN) et l’initiative « Thomas Jefferson Fund » (2021-2023).

C. Maugis, INSA, Toulouse : statisticienne, analyse de données transcriptomiques sur les cinétiques et single cell. Projet LCAUX et projet SINGULARITY (coord. S. BENSMIHEN). Projet « MITI » DDisc (2021-2024, coord. P. Neuvial).

Plateforme métabolomique MetaboHub, Toulouse : pour les dosages d’hormones et de métabolites secondaires  (Buendia et al., 2019a)

PARTICIPATION A DES COMITES/INSTANCES SCIENTIFIQUES

2016- 2020 : Membre élue au conseil scientifique de la FR-AIB ;

2016-2020 :  Membre élue au conseil scientifique de l’école doctorale SEVAB

2021-2025 : responsable de l’axe « Développement des plantes, interactions biotiques et abiotiques » (23 équipes d’accueil sur 3 unités différentes) de l’ED SEVAB

Co-animatrice du comité de suivi des étudiants en thèse du LIPME

Octobre 2019-actuel : membre élue du conseil exécutif de l’EUR (Ecole Universitaire de Recherche) TULIP-GS

Février 2021-actuel : membre du comité d’animation scientifique du réseau Symbiphyt (INRAE-SPE, Coordination M. Lepetit et A. Carlier).

Janvier 2019-Janvier 2023 : co-organisatrice du workshop « Légumineuses » (Legumes) à la conférence internationale Plant and Animal Genome (PAG), San Diego, USA.

ENSEIGNEMENT

2000-2003 : monitorat (chargé d’enseignement contractuel) à l’université Orsay-Paris Sud (64h/ an)

2008-2018 : Vacations de TP et TD en physiologie végétale en Licence (L1/L2) à l’UPS, Toulouse

2010-actuel : participation aux ateliers bibliographiques pour les étudiants de M2R.

2021 : cours pour le M2R Paris-Saclay

ACTIVITES DE VULGARISATION SCIENTIFIQUE

Présentation orale aux Jeudis Sciences de la FR-AIB (séminaire de vulgarisation scientifique pour le pôle INRAE d’Auzeville) : « Les plantes aussi ont des hormones » (Septembre 2017)

Participation à ESOF (European Science Open Forum), Muséum d’Histoire Naturelle, Toulouse, Juillet 2018

Activité de vulgarisation sur les légumineuses dans les écoles primaires (octobre 2021) et les lycées (2010, 2011)

Depuis janvier 2020 : co-organisatrice des séminaires Jeudi Sciences de la FR-AIB

Sandra BENSMIHEN
Carole

Carole LAFFONT

Ingénieure d'Etudes (CNRS)

SMS
 

Formation et Sujets de Recherche

J’ai été recrutée au CNRS en 2006 dans l’équipe de Martin Crespi puis celle de Florian Frugier à l’Institut des Sciences du Végétal à Gif sur Yvette (91) qui visait à comprendre les mécanismes moléculaires qui contrôlent l‘architecture racinaire des légumineuses, notamment dans le cadre de la symbiose entre Medicago truncatula et la bactérie fixatrice d’azote Rhizobium meliloti. Ainsi, j’ai d’une part, participé à la caractérisation de mutants des voies hormonales de Medicago truncatula et d’autre part, j’ai développé une approche de génétique directe pour identifier de nouveaux gènes qui contrôlent le développement racinaire.

Entre 2015 et 2020, j’ai effectué une thèse au cours de laquelle j’ai caractérisé des signaux peptidiques impliqués dans le contrôle de la formation des racines latérales et des nodosités fixatrices d’azote. Au cours de ces années, j’ai développé essentiellement des compétences de biologie moléculaire (clonage, ChIP, transactivation) et de physiologie des plantes (culture, phénotypage, transformation génétiques).

En 2024, j’ai rejoint pour 50% l’équipe dirigée par Clare Gough et Sandra Bensmihen au LIPME pour étudier l’influence des signaux symbiotiques sur le développement des racines et l'état nutritionnel des plantes, notamment en utilisant des approches transcriptomiques « single cell » et en poursuivant sur des approches de génétique inverse, à l’aide de mutants d’insertion de transposon ou de développement de constructions d’édition génomique de type CrispR-Cas9.

Sur le deuxième mi-temps, je contribue à développer un service d’« ingénierie des génomes végétaux » qui s’appuiera sur le plateau de transgénèse végétale dont Céline Remblière est responsable et pour lequel je serai amenée à assurer le conseil sur les outils d’édition et de diagnostique génomique de différentes espèces de plantes.

FORMATION ET SUJET DE RECHERCHES

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Alexander Johansson

Doctorant

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FORMATION ET SUJETS DE RECHERCHE

Titulaire d’un Master en « ingénieries et biotechnologies végétales » de l'université d'Umeå (2021), j’ai effectué mon stage de recherche dans l’équipe d'Alizée Malnoë au Plant Science Centre (Umeå). Mon projet visait à étudier la fonction redox de SOQ1, une protéine cruciale pour la régulation d'un mécanisme de photoprotection chez Arabidopsis thaliana. J’ai ensuite travaillé sur l'embryogenèse somatique chez SweTree (entreprise de biotechnologies végétales ; Suède). En novembre 2022, j’ai rejoint l’équipe SMS pour démarrer une thèse dont le sujet vise à comprendre les interconnexions entre la signalisation symbiotique chez les légumineuses et la tolérance au stress abiotique (CASTLE). Cette thèse est co-financée par le département SPE de l’INRAE par la région Occitanie.

Alexander Johansson
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Zélie Lesterps

Doctorante

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FORMATION ET SUJETS DE RECHERCHE

Après avoir obtenu ma licence de Biologie cellulaire et physiologie et mon master de biologie végétale ADAM (Adaptations, développement, amélioration des plantes, en association avec des microorganismes) à l'université Paul-Sabatier de Toulouse, j’ai commencé ma thèse en 2022. Mon projet de thèse est dans la continuité de mon stage de deuxième année de master. Il vise à étudier le gène AUX/IAA7 lors du développement racinaire ainsi que dans le cadre des endosymbioses racinaires, nodulation et mycorhization chez Medicago truncatula. Une autre partie de mon projet consiste à comparer les spécificités de ce gène de Medicago truncatula par rapport à son homologue chez Arabidopsis thaliana.

Zélie
Guilhem
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Guilhem Reyt

Chargé de Recherche CNRS

SUJETS DE RECHERCHE

Au cours de ma thèse (2010-2013), j'ai caractérisé la fonction et la régulation d'une famille de protéines, les ferritines contrôlant l'homéostasie du fer chez les plantes et l'architecture racinaire. Après mon doctorat, j'ai voulu continuer à travailler sur la nutrition des plantes, en étudiant comment le développement racinaire contrôle l'acquisition des nutriments. Pour cela, j'ai rejoint le groupe du Prof. David E. Salt travaillant sur la formation des barrières racinaires et comment elles contribuent à l'acquisition des éléments minéraux du sol, de l'eau et de l'assemblage du microbiome. En 2021, j'ai été recruté par le CNRS pour travailler sur le rôle des barrières de l’endoderme dans les interactions plante-microbe. Je m'intéresse particulièrement aux rôles de l'endoderme dans la régulation des échanges de nutriments entre les tissus vasculaires et les structures endosymbiotiques formées lors de la symbiose rhizobienne et mycorhizienne à arbuscule.

FORMATION

2010-2013 : PhD Université de Montpellier, director : F. Gaymard, J-F. Briat

2013-2014 : ATER Université de Montpellier

2014-2016 : Post-doc dans le groupe de D. Salt, University of Aberdeen

2016-2021 : Post-doc dans le groupe de D. Salt, University of Nottingham

FINANCEMENTS RECENTS

Financements récents

COLLABORATIONS

Collaborations

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Léo Bunel

Doctorant

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FORMATION ET SUJET DE RECHERCHE

Je suis diplômé de l'Université de Caen (Normandie, France) avec un master en biologie et agrosciences. En 2022, j'ai étudié l'effet de biostimulants sur la fixation de l'azote, la photosynthèse et l'absorption du soufre chez le soja dans le cadre d'un stage au laboratoire EVA à Caen. En 2023, j'ai travaillé sur l'amélioration de la tolérance à la sécheresse du pois au travers de l'étude de son architecture racinaire pendant un stage au sein de l'équipe SEVE dans le laboratoire EBI à Poitiers (Nouvelle-Aquitaine, France). En octobre 2023, j'ai rejoint l'équipe SMS au LIPME pour commencer une thèse sur la coordination entre l'endoderme racinaire et les endosymbioses chez Medicago truncatula. Ce projet vise à comprendre comment la déposition des barrières racinaires est coordonnée avec les symbioses mycorhiziennes et rhizobiennes, et comment cela impacte la nutrition de la plante. Dans ce but, j'utilise des approches méthodologiques variées telles que la microscopie confocale, les analyses nutritionnelles et la transcriptomique, que je combine avec des techniques d'exploration des données.

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Léo
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Agathe Nicolas

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Sophie Laurens

Assistant ingénieur CDD

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